Le blog de chica.caliente.erog.fr
J'aimerais vous raconter ma dernière aventure en date. Je suis étudiante en droit, et l'année a été plutôt fastidieuse : amphithéâtre, révisions, partielles
bref les études. Il y a quelques
jours de ça, en plein cours de droit civil (2h !) je commençais à m'ennuyer ferme. Mes camarades de classe étaient allé faire les boutiques et j'avais été désignée pour prendre le cours. On se
relaie souvent comme ça, cela nous permet de décompresser de temps en temps.
Mais ce jour-là, je n'étais vraiment pas motivée pour suivre le cours, la seule chose qui me tenait éveillée c'était le prof, un homme d'une quarantaine d'année, très craquant. Je m'étais mise au
fond de l'amphi, un mec que j'avais déjà aperçu était assis à côté de moi. Il avait l'air très concentré et prenait des notes. Il n'y avait pas grand monde à l'arrière. A part lui, la personne la
plus proche se trouvait à une dizaine de sièges sur ma gauche, un autre gars que je n'avais jamais vu, plutôt pas mal d'ailleurs. J'essayais en vain de me concentrer, mais tout ce que j'avais en
tête c'était mon prof en train de me prendre dans un couloir ou sur un bureau
je m'imaginais souvent m'envoyant en l'air avec lui.
Je me rendis soudain compte que j'avais très chaud et que j'étais en train de me caresser les cuisses avec une de mes mains pendant que je rêvassais. Cela n'a d'ailleurs pas échappé à mon
camarade qui me matait du coin de l'il. Gênée je retirai brusquement ma main pour la reposer sur la table. Mais le mal était déjà fait. Le garçon, Julien, ne cessait de lancer des coups d'il
vers mes jambes, comme s'il essayait de voir sous ma petite jupe. Cela me mit un peu mal à l'aise mais ça m'excitait à la fois. Je m'amusai à croiser et décroiser mes jambes, quand soudain,
Julien posa une main sur ma cuisse.
Je lui lançai un regard un peu confus, mais il ne cessait de regarder le prof, l'air absorbé par ce que ce dernier expliquait. Je me prêtai au jeu et regardai moi aussi en direction de l'estrade,
la vue me donna encore plus chaud. Julien commença à me caresser doucement la cuisse, faisant de petits mouvements remontant du genou jusqu'à la frontière de ma jupe sans jamais passer dessous,
de l'extérieur vers l'intérieur, et hop il redescendait. C'était très agréable, je commençai à vraiment me détendre, quand d'un mouvement ferme, il mit ma jambe sur ses genoux. Je me retrouvai
jambes écartées et jupe remontée, laissant apparaître le début de mon string bleu turquoise en dentelle. Il reprit ses caresses en remontant cette fois tout en haut de mes cuisses, s'arrêtant au
bord de mon string. Je commençai à me sentir très excitée et quelque peu frustrée, mes seins pointaient à travers mon haut moulant et j'avais une envie folle de les caresser. D'une main discrète
je passai lentement sur ma poitrine tendue, ce qui dut plaire à Julien qui se permit d'avancer un peu plus son chemin.
Du bout des doigts, il me caressa le haut du sexe par-dessus mon string, exerça de petites pressions à hauteur de mon clitoris. Je me retenais de gémir mais ma respiration s'accélérait
dangereusement. Maintenant il me frottait toute la chatte avec la paume de sa main, lentement mais avec force ; il me souffla à l'oreille que j'étais toute mouillée à travers mon string, je ne
pus m'empêcher de remuer légèrement le bassin sous l'action de ses caresses. Je voulais qu'il aille plus loin j'avais envie de plus de caresses. Soudain, je sentis un souffle dans ma nuque. Je me
retournai vivement et je vis l'autre garçon maintenant à côté de moi. Je ne l'avais pas vu arriver dans l'excitation du moment, mais lui avait dû bien voir ce qui se tramait à quelques sièges. Je
me retrouvai encerclée par deux garçons, les cuisses écartées, la jupe relevée, la main de l'un d'eux déjà sur ma chatte à me chauffer. L'autre garçon prit mon autre jambe sur les siennes et se
joignit doucement à Julien, qui écarta mon string et découvrit ma chatte entièrement épilée et luisante de mouille. Le nouveau venu me caressa en premier avec deux doigts, passant sur mon
clitoris et jouant avec.
Julien prit ma main et la fit glisser dans son pantalon défait. Je sentis son sexe déjà bien dur et m'employai à le caresser à mon tour. Je le branlai doucement pendant qu'il m'introduisait un
premier doigt, l'autre garçon s'occupant toujours de mon clitoris. Julien me doigtait maintenant avec deux doigts, l'index et le majeur, et je faisais un effort surhumain pour ne pas crier de
plaisir. J'accélérai ma branlette et je sentis Julien plus dur que jamais. L'autre caressait d'une main mes seins sous mon t-shirt et se branlait de l'autre. Je décidai de l'aider un peu et
entrepris de m'occuper de sa bite avec ma main libre. Il en profita pour retourner vers ma chatte en feu et, se joignant à Julien, m'introduisit lui aussi un doigt. Je coordonnai mes deux mains
pour les astiquer du mieux que je le pus en essayant d'être quand même discrète, mais personne ne sembla s'apercevoir de notre petit passe-temps.
Ces deux bites dans mes mains, j'aurais voulu les sucer, les pomper, les avaler, mais cela semblait impossible. Les deux garçons travaillaient ma chatte à merveille en me doigtant, me caressant
le clitoris et les lèvres. Maintenant Julien s'attaquait à mon petit trou. Il mit un de ses doigts dans ma bouche, je le lui suçais avec envie, puis il retourna vers mon petit trou afin de
l'humidifier, passa ensuite sur ma chatte et recueillit de la mouille pour que je sois lubrifiée au maximum. Il me mit son majeur dans le cul et commença à me le doigter. Je remuai férocement le
bassin, prête à exploser d'une minute à l'autre, je les branlai très fort et eux me doigtaient très vite. Soudain, j'ai senti que ça arrivait. J'ai regardé Julien pour l'alerter et il me plaqua
une main contre la bouche afin d'étouffer mon cri. J'ai joui en un long spasme, m'efforçant de ne pas mordre Julien, qui me baissa vigoureusement la tête entre les cuisses. Je n'eus d'autre
solution que de le boire jusqu'au bout, un liquide épais et chaud, tandis que je sentis un autre liquide chaud se déverser sur ma chatte et mes cuisses : l'autre garçon m'avait giclé dessus
pendant que finissais de pomper Julien.
A peine avons-nous eu le temps de nous remettre de nos petits ébats que le prof annonçait la fin du cours. Mes amies m'en ont voulu, mais je ne sais pas si c'est parce que je n'ai pas pris le
cours ou parce qu'elles auraient aimé être à ma place ce jour-là ...